Même s’il convient de ne pas succomber au changisme ou à l’auto réformite, la perpétuelle mouvance de l’environnement socio-économique est désormais une évidence.
Celle-ci n’est pas sans conséquences et se traduit sous différentes formes ou symptômes :
- A l’instigation des gouvernements successifs, le législateur fixe des objectifs coercitifs et précis à atteindre pour un terme connu – ce que l’on appelle la « réforme ».
Seuls ceux-ci sont d’ailleurs précisés, il appartient aux entités concernées de définir les moyens et méthodes de chaque réforme. On peut parler de transformation sous contrainte réglementaire. - La conviction de l’obsolescence de l’organisation est acquise par la gouvernance, ou attestée par les chiffres, voire les deux : « les temps changent… »
- L’analyse de l’environnement (veille, météo, risques, opportunités) laisse à penser qu’il est nécessaire de changer : autant en prendre l’initiative !
- La volonté de la gouvernance de changer de métier.
Evidemment, cela peut être d’un peu tout cela, l’objectif étant de ne pas mourir en bonne santé…
Exemples d’intervention en conseil en transformation :
- Réalisation d’un module « veille, météo, risques opportunités » naturellement paramétré par la liste des symptômes,
- Définition ou révision d’un modèle économique,
- Redéfinition de politique générale,
- Accompagnement à la conduite du changement, management de transition,
- Cartographie des compétences internes, évaluation des besoins,
- Plan de communication interne et externe.